Cookies

En poursuivant vous acceptez l’utilisation des cookies afin de vous proposer des contenus adaptés et réaliser des statistiques.

Le temps des fins

  • Théâtre

Le 13.06.2024 à 20hLE ZEF - scène nationale de Marseille, Marseille

Guillaume Cayet

En Pratique

  • LE ZEF - scène nationale de Marseille, Marseille

Durée : 135'

Création 2024

3 > 15€

LE ZEF - scène nationale de Marseille

Avenue Raimu - 13014 Marseille

04 91 11 19 20

www.lezef.org

Comment venir ?

Bus
33 - Les Réformés > Théâtre du Merlan
34 - Les Réformés > Mérimée - Corot
53 - Métro Saint-Just > Théâtre du Merlan
TER
Ligne Marseille-Aix > Arrêt Picon Busserine

Parking Centre Urbain du Merlan (commissariat) ouvert lors des représentations.

Ecrit et mis en scène: Guillaume Cayet
Avec: Vincent Dissez, Marie Sohna Condé, Mathilde Weil et un chœur d’amateur·ice·s
Avec la participation de: Achille Reggiani
Scénographie: Cécile Léna
Création musicale: Anne Paceo
Vidéo: Julien Saez
Lumière: Kevin Briard
Costume: Patricia De Petiville, Cécile Léna
Création masques: Judith Dubois
Création sonore: Antoine Briot
Regard complice: Julia Vidit
Conseiller littéraire: Jean-Paul Engélibert
Équipe artistique pour la version
LSF: Lisa Martin et Anthony Guyon de la Compagnie ON OFF

Production: La Comédie de Valence, Centre dramatique national Drôme-Ardèche, Compagnie Le désordre des choses
Coproduction: Théâtre Ouvert, Centre National des Dramaturgies Contemporaines, Théâtre de la Manufacture CDN Nancy Lorraine, Théâtre de La cité internationale, Scène nationale
de l’Essonne, Acb scène nationale Bar-Le-Duc, Lieux Culturels pluridisciplinaires de la ville de Lille, Centre culturel de La Ricamarie
Avec la participation artistique du Jeune théâtre national.
Le désordre des choses est une compagnie conventionnée avec la DRAC Auvergne–Rhône-Alpes. Elle reçoit le soutien de la région Auvergne-Rhône-Alpes et du département du Puy de Dôme.

Présentation

© Jürgen Nefzger

Guillaume Cayet écrit et met en scène Le temps des fins. C’est un monde où s’entrecroisent les épilogues, celui d’une ruralité populaire, celui d’une lutte forte et fragile contre l’abattage d’une forêt, celui de phénomènes naturels imprévisibles, le tout sous une gouvernance qui semble elle-même risquer sa faillite. L’intimité des bois et les puissances qui s’y trament, c’est ce qu’il en restera.